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Le terme « manga » est constitué de deux idéogrammes ( ou Kanji ) : « man », qui signifie, selon le contexte, l'imprécision ou l'aisance, et « ga » qui désigne l'apparence graphique. On pourrait donc asseoir « manga » par « dessin au rai coulant » ou bien charpente à la merci de la allégorie ». On trouve aussi la interprétation par « exemples minces », qui est plus péjorative. Hokusai ( 1760-1849 ) est le 1er à avoir utilisé ce terme pour désigner ses recueils de croquis et de caricatures. à présent, au soliel levant, le mot est employé pour désigner les bandes dessinées quelle que soit leur origine géographique.En 1946, le soleil levant se reconstruit après les dommages de la guerre… Une période où les américains délayé leur exploitation via leur domination et influencent fortement les productions de ce stade. En effet, les yonkoma ( ces réputé manga en « 4 cases » ) sont un soubassement des remarquable comic-book bande dessinée américain : Garfield ( 1987 ) ou bien Snoopy ( 1950 ), en sont des portraits. S’ils voient leur jour dans la presse, quelques rédacteurs en ont fait des mangas : Sazae-San ( 1946 ) de Machiko Hasegawa très partie. Bien qu’humoristique, Sazae-San relate le quotidien d’une famille japonaise passagère après les des festivités de la 2ème Guerre Mondiale, posant un contexte culturellement intéressant, pour un récit distribuée sur 45 capacité.Les apparitions timides du manga dans la presse japonaise vont très largement devenir intense sous l'impulsion du boom de la presse piquant anglaise. Parmi les grandes figures de la pochade qui vont avoir un rôle conséquent sur le manga japonais, citons Charles Wingman. Arrivé à Yokohama en 1861, il va créer le journal rosse The Japan Punch et marque l'application du de fabrication française d'illustration aux Japonais. Le caricaturiste français Georges Ferdinand Bigot effectue à ce titre le trajet et crée la revue rosse, Tôbaé. Les bases du manga son posées. Elles seront assurément consolidées lorsque Yasuji Kitazawa, qui prendra par la suite le nom de Rakuten Kitazawa, rejoint le journal Jiji Shinpō et qualifie ses paysages humoristiques de manga. Nous sommes en 1902 et le premier mangaka ( créateur de mangas ) officiel à vu le jour. A partir de cette journée là, Kitazawa ne va suspendre de développer le manga à travers les multiples détail qu'il crée ou auquel il collabore : porto puck, Furendo, Kodomo no tomo. Censuré puis employé à des issue de propagande, le manga s'impose friandise sous prétexte que un réelle orientations d'expression.Qui ignore le nom de celui que l’on surnomme le dieu du manga ? Osamu Tezuka est réputé dans le monde pour ses titres emblématiques : Astro Boy ( 1952 ) lui permettra d’exploiter tout son savoir-faire dans ce monde imaginaire de Science-fiction, Black Jack ( 1973 ) sera l’une de ses œuvres les plus individuelles ( Tezuka était médecin de formation ) alors que Princesse bauxite ( 1953 ) posera les principes principales du shôjo… en revanche, on connaît beaucoup moins « La nouvelle gentil au trésor » ( 1947 ), posté chez Isan Manga et recomposée par le mangaka, qui a d'un côté lancé sa carrière, mais qui a aussi posé un nombre élevé de codes qui ont désordonné le style du manga. Comme son nom l’indique, cette informations sur l'histoire prend comme opportunité d’inspiration l’œuvre de robert Louis Stevenson, mais seulement en surface.Passons aux Shonen, notamment les Nekketsu qui sont les plus communes. Mangas qui a pour destin à la base aux jeunes garçons, les modes y sont pluraux. Le héros, un jeune homme souvent orphelin va chercher à approcher un objectif grâce à l'aide d'une ligne de joyeux amis, devant sans cesse s’améliorer et devenir plus fort pour espérer approcher son but. On y palabre des vertus telles que l’amitié, la résolution, la intention et le dépassement de soi. Ici on met l’accent sur l'activité. Le style est plus vif, plus tranché et plus énergique. On s’attarde sur le look des petits personnages et leur charismatisme, la stratégie dans les engagement, etc.Le brave du manga shōnen a traditionnellement un prétendant qui est sont contraire, nous devons le baptiser d’anti-héros. Celui-ci a un comportement antagonique au courageux et durant tout le manga il y’aura rivalité, une compétition entre ces 2 personnages. Il est divertissant de noter que les fans seront aussi en rivalité car quelques préférons le courageux, quand d’autre préférons le anti-héros. Le terme « shojo » en japonais signifie jeune fille ( oh en effet ceci est l’inverse du shōnen ). Le shojo va par conséquent s’adresser aux adolescentes japonaises. Les récits abordent des thème variés comme par exemple la musique, la gymnastique, l’école, la expansions avec des destruction d’amour plus complexe que les films romantiques.
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