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Le terme « manga » est composé de 2 idéogrammes ( ou Kanji ) : « man », qui veut dire, d'après le contexte, l'imprécision ou la nouveauté, et « ga » qui désigne la représentation graphique. On peut de ce fait adosser « manga » par « croquis au rayonnage libre » ou schéma au gratitude de la mythologie ». On trouve aussi la interprétation par « portraits modestes », qui est plus péjorative. Hokusai ( 1760-1849 ) est le premier à avoir utilisé ce terme pour spécifier ses catalogues de dessin et de brouillon. à l'heure actuelle, au soleil levant, l’appellation est utilisé pour spécifier les bandes dessinées quelle que soit leur origine géographique.Traditionnellement, l'esthétique seinen est destiné plutôt aux plus vieux qu'aux adolescents. Mais les rencontre imaginées par Naoki Urasawa sont si passionnantes qu'elles ont révélé dépasser le cadre . En apprenant des éléments très mystiques à des péril bien ancrées dans le , le mangaka sait approprier son poursuite sur plusieurs chapitres. Sur la base de Monster et avant Pluto, avec un partie aussi rigoureux sur les paysages que détaillé dans les décors, Urasawa imagine une chronique de damnation teintée de breakdown. Il parvient, par la activité de ses secrets, à expliquer que le plus conséquent n'est pas la réponse toutefois le cheminement pour y se joindre et les instruction apprises durant ce dernier.Ainsi, on écarte du champ de ce billet des œuvres, bien principales, vu que les peintures rupestres, la voilage de Bayeux, les rouleaux d’Hokusai ou les gravures de William Hogarth, sans par conséquent négliger leur impact, au moins indirecte, sur la bd. Il en est de même pour les planche, les dessins satiriques et de presse qui sont généralement confondus avec de la ligne fanzine. Le but n’est pas ici de réaliser avec précision comment celle-ci est née mais d'insérer quelques jalons historiques dans l'idée d’en avoir une meilleure grâce.Après la guerre 39-45 et sous l'impulsion de l'occupation américaine, l'influence des comic strip, de courtes bande-dessinées ( bart simpson, Flash Gordon, Garfield... ), se fait faire émerger. Cette result nord-américaine prend toute son masse avec le paternel du manga moderne, enthousiaste loueur de Walt Disney et considéré étant donné que le ' dieu du manga ', Osamu Tezuka. Son héritage : plus de 700 oeuvres et une foule de collégien entre tous les mangakas contemporains. Tezuka réinvente la manière de remédier le manga en rappelant du restaurant et spécialement des imposant plans ou des travelling. Il decrit aussi les onomatopées dans les bulles. Parmi ses oeuvres essentielles, expliquons Shin-Takarajima, ' La nouvelle gentil au phénomène ' et Tetsuwan Atom, ' Astro, le petit machine ' qu'il adaptera en mouvant pour pour le petit écran en 1963. A partir de cette date, l'adaptation à la télé de mangas deviendra un véritable de masse. Grand responsable du monde du manga, Tezuka comptera entre ses héritiers Fujio Akatsuka, Takao Saitō ( Golgo 13 ), Yumiko Igarashi et Kyoko Mizuki ( Candy )...Passons aux Shonen, notamment les Nekketsu qui sont les plus connues. Mangas qui a pour destin à la base aux petits garçonnets, les types y sont variés. Le brave, un jeune garçon souvent orphelins va chercher à approcher une vocation à l'aide d'une ligne de comédien compagnons, devant toujours s’améliorer et devenir plus fort pour escompter atteindre son but. On y monologue des valeurs comme l’amitié, la dissolution, la obstination et la manœuvre de dépassement de soi. Ici on met l’accent sur l'influence. Le féminin est plus agile, plus tranché et plus audacieux. On s’attarde sur le cachet des personnages et leur charisme, la tactique dans les bataille, etc.Passons maintenant aux shojos, les mangas féminin. Évidement, il y a en premier lieu les shojos aubade qui sont uniquement basé sur la vie sentimentale d'une jouvenceau. Généralement, elle n'est pas la plus appréciée de sa société didactique et est sensuelle du plus célèbre. Évidement, elle ne sera pas uniquement amoureuse de ce garçon mais aussi d'un beau albert mélancolique, cela est la source du trigone don quichotesque. Mais il y a un autre type de shojo : le magical girl tel sailor moon s'est dévelloppé dans l'hexahone au moyens des animés. Une jeune fille tout à fait anodin reçoit de magiques pouvoirs au moyen d'un ballon fantastique afin de combattre des ennemis de toute sorte. Cependant le type magical girl n'est pas totalement apathique du shojo cantique vu que ici aussi, un gars est un idée important des origines.

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